http://ecritsetmemoires.vefblog.net/

  VEF Blog

Histoire d'Angers SCO

posté le 16-12-2009 à 15:00:08

FINALE DE LA COUPE DE FRANCE

SAISON 1956-1957

SCO ANGERS-TOULOUSE FC

 


 
 
posté le 14-12-2009 à 18:41:08

Le SCO et la coupe de France

Après la qualification de ce WE, revenons un peu sur le plus bel exploit des angevins en coupe de France : la finale de 1957....

 


 
 
posté le 11-12-2009 à 09:34:55

Livre de la saison 2008-2009 : Une saison pleine d'espoir...

Pour vous donner une idée du contenu du livre de la saion 2008-2009 que nous avons édité, nous vous en livrons ici quelques passages :

 


 
 
posté le 09-12-2009 à 18:35:45

Pour faire plaisir aux plus jeunes fans du SCO : rappelez-vous, le "savoureux" président Norbert laissait (enfin!) sa place à Willy Bernard.... 

 


 
 
posté le 09-12-2009 à 09:08:13

PHOTOS DE LA SAISON 1946-1947

SCO Angers 1946-47. Debout, de gauche à droite: Samzun, Firoud, Chipponi, Bykadoroff, Kadmiri, R.Meuris.

 


 
 
posté le 08-12-2009 à 18:42:39

Noël approche !!!!

Quelques petites idées de cadeaux pour les fans du SCO : tous les livres présentés peuvent être commandés auprès de l'association Ecrits et Mémoires : ecritsetmemoires@dbmail.com

 


 
 
posté le 06-12-2009 à 11:04:03

Saison 1946-1947 : L'équipe des millionnaires !!!

Saison 1946/1947« L’équipe des millionnaires »

Une première année pleine d’espoir et des gros renforts : le projet d’accéder à l’élite nationale était dans toutes les têtes, mais le SCO ne termine que 3 en championnat… Par ailleurs, il participe au 1/8 de finale en Coupe de France.

 


 
 
posté le 06-12-2009 à 10:55:51

Saison 1945-1946 : les débuts du professionnalisme

Pour cette première saison en championnat de France de Deuxième division professionnelle, le SCO termine3du groupe Nord et va jusqu’en 1/16 de finale en Coupe de France.Départs : néantArrivées : Bykadoroff (Mondeville), Campiglia (Saumur), Kartoyan (Paris), "Srab" (Paris), Toscanelli (Cholet), Vasquez (Amiens), Vermeiren (?) Effectif : Bergeon, Brea, Bykadoroff, Campiglia, Jean Combot, Pierre Combot, Escolivet, Kartoyan, Lebouc, Georges Meuris, Robert Meuris, Samzun, Sanfiliu, "Srab", Toscanelli,

Le film de la saison :L'Allemagne a capitulé au printemps, la guerre est finie en Europe occidentale. Les prisonniers et les déportés regagnent leur patrie. Peu à peu, on s'efforce de reprendre une vie normale, malgré les désorganisations qui apparaissent. Sur le plan footballistique, le parti est pris de restaurer les compétitions d'avant-guerre. Ainsi, la Première division conserve son effectif de 1938-1939 sans Roubaix et Antibes, derniers et relégués, mais avec les deux premiers de D2 (Rennes et le Red Star) ; exception­nellement, Bordeaux, Lyon et Reims, qui ont brillé en 1944-45, sont égale­ment conviés.

 


 
 
posté le 04-12-2009 à 17:33:35

Les débuts du SCO et l'ère amateur

Finale du championnat de France 1943 - Photo RadigoisLe 15 octobre 1919, le café du Ralliement, dans le centre ville Angevin, allait devenir un lieu historique pour le football puisque c’est dans ce lieu que la création du Sporting Club du Crédit de l'Ouest, à l'initiative de Paul Fortin, fut décidée.Aidé par le seul club de Football Association existant alors en Maine et Loire, le Club Sportif Jean Bouin (CSJB), le SCCO, appe­lé rapidement le Sporting Club de l'Ouest (SCO), disputa son premier match, quatre jours plus tard, face au Stade Nantais Université Club pour le compte du championnat de l'Ouest. La victoire des Nantais, 2 buts à 1, lançait l'histoire du SCO d'Angers football. Ce n'est qu'à par­tir du 2 décembre 1919 que le statut du SCO fut définitivement établi avec l’organisation d’une assemblée générale constitu­ante.Porté par l'envie de personnalités locales et la découverte de ce sport, le Foo­tball Association connaît un relatif succès, durant plusieurs années, avant de commen­cer à perdre de son intérêt en 1924.Suivent cinq années dif­ficiles pour le SCO football, mais sous l'impul­sion d'André Bertin, il renaît en 1929 et retrouve des pra­tiquants en 1930. Des problè­mes au sein du Club Sportif Jean Bouin, en 1931, engendrent un exode massif des joueurs vers le SCO.L'arrivée des joueurs du CSJB, club considéré alors comme la meilleure équipe de l'ouest, per­met d'assurer au club un essor impor­­tant. Ainsi, en 1931, le club compte déjà 5 équipes différentes.La saison 1930-1931 démarre mal : le SCO se fait éliminer d'entrée, par un club de la Ligue du Centre-Ouest, l'Union Sportive Fontenaisienne. A Fontenay-le-Comte, les Angevins sont platement battus 4 à 0. Décidément, la Coupe de France ne réussit pas au SCO qui n'a plus passé un tour depuis 1921-1922. Heureusement, le championnat fait vite oublier cette déception. Les Scoïstes survolent leur groupe de 1 série : ils remportent 5 victoires et ne sont battus (2-1) que par l'Intrépide, et encore Godard avait-il ouvert la marque. Il faut dire qu'à l'aller, les « Noir et Blanc » avaient infligé à l’Intrépide un rude 8-0. Les Parreyeurs de Bel-Air-de-Combrée, quant à eux, subissent un 7-1 final retentissant (1-1 à la mi-temps !). La Préparation Militaire de Segré est battue deux fois. Le bilan est éloquent : 24 buts marqués, 7 encaissés. Le SCO est donc qualifié pour la finale du championnat de 1 série avec, en jeu, l'acces­sion au championnat de Promotion d'Honneur, l'antichambre de la Division d'Honneur ! En ce 4 janvier 1931, l'adversaire a pour nom l'Etoile Sportive Couëronnaise. Les Angevins, déterminés, et en pleine euphorie, écrasent Couëron et l'emportent 6 à 0 ! Ils obtiennent ainsi la première promotion de l'histoire du SCO. Cette saison s'avère d'autant plus déterminante que les Etablissements Bessonneau décident de ne plus sou­te­nir, à bout de bras, l'équipe du CSJB. Pourtant, celle-ci atteint son sommet en début d'année 1931 : non seulement les « Cordiers » remportent un nouveau titre de cham­pion de l'Ouest, mais ils atteignent, en outre, les quarts de finale de la Coupe de France ! Après avoir éliminé le Football Club de Rouen (6-3) puis le Racing Club de Strasbourg (6-1), ils ne sont éliminés que par l'Olympique Gymnaste Club de Nice, à Montpellier, le 8 mars (4-1). Seul le grand Stade Rennais, finaliste en 1922, avait fait mieux dans l'Ouest.Voici ce que Le Miroir des Sports écrit à l'occasion de ce 8 de finale de la Coupe de France contre Strasbourg : A Amiens, Angers manoeuvra le RC Strasbourg à sa guise. A la mi-temps, les vainqueurs menaient 4-0 sur un terrain où l'on avait balayé la neige le matin. A Angers, tout le onze a fait son devoir et démontré qu'il serait temps de le classer parmi les grandes équipes françaises. S'il fallait citer quelques noms, celui du gardien Monoré vient tout naturellement sous la plume. Monoré est d'une classe qui mériterait de lui valoir la sélection (il sera par la suite pro au Stade Rennais). Il est actuellement à Joinville. S'imposera-t-il dans l'Equipe de France militaire ? Par ailleurs, les demis, en particulier Lévêque, le demi centre et au nombre des avants, le centre Poremba et le rapide ailier Pichon furent les plus remarqués.Quelles sont les raisons du renoncement de Bessonneau ? Peut-être le refus de s'engager dans le professionnalisme qui se profile et qui entrera dans les actes un an plus tard et, plus sûrement, les difficultés économiques qui commencent à frapper l'Europe, deux ans après la crise américaine de 1929 : Bessonneau déposera d'ailleurs le bilan au milieu des années 1930. Cette décision entraîne un transfert massif vers le SCO : Brandweiner, Jeudy, Lévêque, Pichon, Poremba et Weri rejoignant les « Noir-et-Blanc ». Dès lors, le SCO devient le premier club angevin et ne cessera plus de l'être. Mais on est passé tout près de voir le CSJB parmi les pionniers du football profes­sionnel, ce qui laisse de quoi rêver... Pour le SCO, les résultats sont immédiats : la montée en Division d’Honneur est acquise dès 1932 et le titre de Champion de l'Ouest est remporté lors de la saison 1934/1935. Pour autant, le SCO désire conserver son statut amateur ce qui lui permet, lors de la saison 1942/1943, de devenir champion de France amateur. Revenons sur cette page importante de l’histoire du SCO :Le développement du football association en Anjou a connu différentes étapes depuis la création d'Angers SCO, en 1919, jusqu'à son premier titre de Champion de France Amateur, en 1943. Pour atteindre ce titre, le SCO, à partir des années 1940, a pris des initiatives importantes qui ont permis une progression spectaculaire. Il y eut, en particulier, le passage du SCO dans le groupement des clubs autorisés à utiliser des joueurs profes­sionnels (seul Meuris était rémunéré en tant qu’entraîneur). Mais, en tout état de cause, l'évènement majeur fut le recrutement de Georges Meuris alors engagé en tant qu'entraîneur joueur. George Meuris apportera, à 35 ans, sa grande expérience : deux titres de champion de France remportés avec Lille et le Red Star, une coupe de France avec le Red Star, et international français.Les résultats sont im­mé­diats, que ce soit en coupe de France, ou en championnat. Le parcours Angevin, en coupe de France, est auréolé de larges suc­­­­cès qui permet­tent au SCO de franchir les tours, les uns après les autres. Malheureuse­ment, au cin­quiè­me tour, le SCO doit affronter l'équipe du Stade CAP, une équipe profession­nel­le issue de la fusion entre le Sta­de Français et le Cercle Athlé­tique de Paris. Une sévère défai­te, 3 buts à 0, stoppera la route du SCO dans cette compétition..En championnat, les résultats sont également très bons : le SCO est premier, mais une défaite, face à Laval, permet au SC Saint-Nazaire de revenir à égalité de points. Tout se jouera donc lors de la dernière journée où le SCO reçoit les Nazairiens : les deux équipes se séparent sur un score de parité (1-1). Un nouveau match devra être disputé pour désigner un vainqueur. Il se déroulera à Nantes et le SCO gagnera cette partie, après prolongation, sur un but de son entraîneur joueur, Georges Meuris.Désormais, champion du Comité d'Anjou et qualifié pour la phase finale du championnat de France Amateur, rien ne va plus arrêter le SCO d'Angers.Lors du premier tour, le champion d'Anjou rencontre le champion de Norman­die : l'Association Sportive de Deauville-Trouville. Deux matches nuls ne désignent pas de vainqueur, mais une irrégularité des Normands (le gardien, Le Guern, n’était pas quali­fié) permet à Angers de franchir cette première étape.En demi-finale, les Angevins rencontrent le Bordeaux Etudiants Club (BEC). Il ne faudra qu'un match, et une victoire 4 buts à 1 des Angevins (J. Combot (2),Meuris et Perrins sont les buteurs) pour les emmener à Saint Ouen, en mai 1943, pour y affronter le Racing Club Franc Comtois de Besançon. Ces derniers ayant battu, en demi finale, Reims.Auteur d'un très bon début de match, Besançon domine ce début de partie et n'est pas loin d'ouvrir le score, lorsque Radigois commet une erreur d'appréciation sur une percée de Missoum, mais il sera supplée sur sa ligne par LeboucPar la suite, Angers va montrer le jeu construit toute l'année par Meuris : « un système de marquage identique à celui qui a fait la réputation des principaux grands clubs nationaux », mais surtout une solidarité qui leur a permis de mener le combat d'une même et identique manière. Ajoutons à cela, une organisation efficace, un place­ment réfléchi et, encore et toujours, la maîtrise défensive de son entraîneur joueur, Georges Meuris. Aussi, c'est logiquement, qu'en fin de première période, Perrin ouvre le score d'un tir à ras terre qui laisse le portier Bisontin sans réaction. La seconde mi-temps confirme la domination Angevine et, sur un coup franc frappé par Meuris, Combot récupère pour marquer un second but. Le score final de 2 à 0 sacre le SCO d'Angers champion de France Amateur.

Un article du Miroir des Sports relate cet épisode glorieuxet titre :

 


 
 
posté le 04-12-2009 à 16:44:41

Couverture Tome 1 Hstoire du SCO

Ce tome 1 de l'histoire du SCO est disponible auprès de l'association Ecrits et Mémoires : 150 pages grand format sur papier glacé. De très nombreuses photos, des articles de presse et des témoignages. 60 années de foot d'une autre époque.